Le plus grand centre de soins de la tête et du cou du Nord-Ouest participe à une étude de recherche

Centre du cancer de la tête et du cou de Liverpool à l'hôpital universitaire d'Aintree

Les cancers de la tête et du cou sont une maladie dévastatrice et dans les zones urbaines du Cheshire et du Merseyside, et en particulier à Liverpool, ils constituent actuellement un problème majeur. Avec un taux d'incidence annuel trois fois supérieur à la moyenne nationale (35 cas pour 100 000), on le compare aux régions socio-économiquement défavorisées de l'Inde, de l'Amérique du Sud et de l'Afrique du Sud. Ce taux d'incidence est en corrélation avec la privation socio-économique, les taux de mortalité étant plus élevés que dans l'ensemble de l'Angleterre.

Le centre est le fruit d'une collaboration entre l'université de Liverpool, l'Aintree University Hospital NHS Foundation Trust, le Clatterbridge Cancer Centre NHS Foundation Trust, le Walton Centre NHS Foundation Trust, le Royal Liverpool and Broadgreen University Hospitals NHS Trust et Liverpool Health Partners.

Le Liverpool Head and Neck Centre est fier de combiner la force de ses unités cliniques et de ses groupes de recherche, ce qui lui permet de répondre de manière urgente aux besoins locaux non satisfaits en matière de soins de santé afin d'améliorer la qualité et la sécurité des soins aux patients.

Grâce à l'implication de nombreux partenaires influents et expérimentés, il est idéalement placé pour entreprendre les recherches nécessaires à la résolution des problèmes fondamentaux qui doivent être abordés dans le Nord-Ouest.

L'un de ces domaines clés est la qualité de vie après le traitement.

Temps de récupération et alimentation/médicaments après le traitement

Les recherches suggèrent qu'il existe une corrélation directe entre le fait de retarder l'alimentation/médication critique après le traitement et le temps de récupération du patient. L'un des principaux problèmes de l'alimentation par sonde nasogastrique est l'impossibilité d'obtenir une aspiration afin de réaliser un test de bandelette pH, qui doit être effectué pour déterminer la position de la sonde avant son utilisation. Cela signifie souvent que l'alimentation/la médication est retardée.

Le système NGPOD® est susceptible d'améliorer la qualité de vie des patients qui ont besoin d'une sonde d'alimentation nasogastrique après le traitement, car il supprime la nécessité d'aspirer un échantillon du contenu gastrique en faisant passer le test de pH à l'extrémité de la sonde NG, à l'intérieur du patient.

Cela signifie non seulement que le patient peut être nourri plus rapidement et poursuivre son rétablissement, mais aussi qu'il n'est plus nécessaire de recourir à des radiographies pour confirmer la position de la sonde gastrique, ce qui présente des avantages pour la sécurité du patient et des économies potentielles pour le Trust.

Le Dr Samuel C. Leong, rhinologue consultant et chirurgien de la base du crâne antérieur à l'Aintree University Hospital NHS Foundation Trust, s'est exprimé sur cette étude ;

"Le Liverpool Head and Neck Centre et le National Institute for Health Research (NIHR) Clinical Research Network North West Coast soutiennent pleinement Shirley Pringle et son équipe de l'hôpital universitaire d'Aintree pour faire de l'étude NGPOD un grand succès".

L'étude devrait débuter à la mi-septembre, alors n'oubliez pas de nous suivre sur nos plateformes de médias sociaux pour vous tenir au courant des progrès réalisés ! Rosemary Howell, responsable des essais cliniques chez NGPod Global, commente :

"NGPOD Global Ltd est ravi d'entreprendre cette étude de recherche avec le Liverpool Head and Neck Centre. Ils offrent l'opportunité d'étudier ce nouveau dispositif sur des patients subissant une intervention chirurgicale et d'ajouter au corpus de connaissances sur la performance du dispositif.

Ce n'est qu'avec la coopération des patients et du personnel que nous pouvons entreprendre cette recherche, qui, nous l'espérons, améliorera la qualité des soins pour les futurs patients. Toute l'équipe de NGPOD Global est impatiente de travailler en étroite collaboration avec le Liverpool Head and Neck Centre pour mener à bien l'étude".