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Sécurité des patients

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Réunion semestrielle de la Fondation du mouvement pour la sécurité des patients (PSMF)

Réunion semestrielle de laFondation du mouvement pour la sécurité des patients (PSMF)

Le 13 juillet 2017, nous avons assisté à la réunion semestrielle de la Patient Safety Movement Foundation (PSMF) au Inova Center for Personalized Healthcare à Falls Church, en Virginie, aux États-Unis. Les réunions semestrielles de la PSMF s'articulent autour du travail sur le développement de solutions actionnables pour la sécurité des patients (APSS) sélectionnées précédemment et de la sélection de nouveaux défis sur lesquels se concentrer à l'avenir.

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Sécurité des patients

Le PSMF rassemble les professionnels de la santé, les défenseurs des patients et l'industrie dans un combat commun et ambitieux pour atteindre zéro décès évitable d'ici 2020.

Une étude, publiée dans le British Medical Journal en 2016, par des chercheurs de la Johns Hopkins Medicine, affirme que les erreurs médicales devraient se classer comme la troisième cause de décès aux États-Unis - et souligne comment les lacunes dans le suivi des statistiques vitales peuvent entraver la recherche et maintenir le problème à l'écart du public.

Les auteurs, dirigés par le Dr Martin Makary, chirurgien à l'hôpital Johns Hopkins, demandent que des changements soient apportés aux certificats de décès afin de mieux comptabiliser les défaillances fatales des soins. Dans une lettre ouverte, ils demandent instamment aux Centers for Disease Control and Prevention d'ajouter immédiatement les erreurs médicales à leur liste annuelle des principales causes de décès.

Basée sur une analyse des recherches antérieures, l'étude de Johns Hopkins estime que plus de 250 000 Américains meurent chaque année d'erreurs médicales. Sur la liste officielle du CDC, cela se classerait juste derrière les maladies cardiaques et le cancer, qui ont chacun pris environ 600 000 vies en 2014, et devant les maladies respiratoires, qui ont causé environ 150 000 décès.

Stephen Thorpe, président de NGPod Global, s'est engagé à partager des données avec le PSMF au nom de NGPod Global et assiste aux réunions du PSMF pour apprendre, partager et contribuer aux efforts des organisations pour faire la différence.

NGPod Global a participé à des discussions avec l'hôpital pour enfants du Colorado (CHC) afin de faire connaître l'excellent travail qu'il a accompli pour établir des directives et des formations après le décès de Grant, le fils de Deahna Visscher. Deahna, qui est maintenant bénévole en tant que défenseur de la sécurité des patients à l'hôpital et qui fait également partie du sous-comité NOVEL (seeking New Opportunities for Verification of Enteral tube Location) de l'American Society of Parenteral and Enteral Nutrition (ASPEN), et Christine Peyton, infirmière clinicienne spécialisée du CHC, ont participé à la réunion semestrielle et ont présenté l'histoire de Grant et les mesures prises au CHC après son décès.

Les délégués ont approuvé à l'unanimité l'adoption du mauvais positionnement de la sonde nasogastrique comme l'une des APSS à formuler et à présenter lors de la prochaine réunion annuelle qui se tiendra en février prochain à Londres, en Angleterre, à l'invitation du Rt Hon. Jeremy Hunt, secrétaire d'État à la santé qui a assisté au dernier congrès annuel de la PSMF à Dana Point, en Californie, où lui-même, le président Bill Clinton et le vice-président Joe Biden étaient les principaux orateurs.

NGPod Global se réjouit de continuer à contribuer aux discussions au sein de NOVEL, CHC et PSMF dans le but d'établir des directives de bonnes pratiques qui formeront la base d'un APSS PSMF que d'autres organisations engagées dans le PSMF adopteront.

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NGPod : mettre fin aux "événements jamais survenus", améliorer le rétablissement des patients et réduire les coûts

Le dispositif portable NGPod permet de surmonter un grand nombre des risques associés aux méthodes existantes de confirmation de la mise en place d'un dispositif nasogastrique.

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